dimanche 13 juillet 2008

Fraenz Frisch

Un rien dont on voudrait faire quelque chose.
Henri Davignon, Souvenirs d'un écrivain belge, 1879 - 1945.

Envoyé le 17 août 2010
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Juillet fut une fournaise permanente sous un ciel désespérément bleu (...)
Jean-Paul Dubois, Une vie française, 2004. 

 Reçu le 06 août 2010
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Les fantômes du jour ne sont pas comme les fantômes de la nuit.
Henri Michaux, Epreuves, exorcismes, 1940-1944.

Envoyé le 14 juillet 2010
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Crois-tu qu'on s'énivre pour s'amuser? Etre ivrogne ce n'est pas une sinécure...Si tu savais l'attention et la persévérance qu'il faut! Toujours à remplir des verres et à les vider.
Jean Anouilh, La Répétition ou l'Amour puni, 1950.   
Reçu le 09 juillet 2010
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(...) cette folle juxtaposition de plaisanteries grossières et d'allégories pieuses, de matériaux raffinés et de faste barbare, de niaiseries effrontées et de stylisation féerique.
Anita Albus, La Peinture, sommet des arts, 2004.

 Envoyé le 18 juin 2010
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Une grappe de visiteurs / pressée par le poing de la nuit / fait couler son jus d'insouciance / dans les rigoles du cellier (...)
Michel Butor
 Reçu le 11 juin 2010
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On m'a appris lorsque j'étais petit, sur ma planète natale, que la vérité est une affaire d'imagination.
Ursula Le Guin, La main gauche de la nuit.

Envoyé le 03 août 2009
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La démocratisation et la fausse démocratisation n'ont conduit qu'à donner aux peuples souverains les vices des capitaines.
Charles Péguy, La République.

Envoyé le 14 juillet 2009
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Si les boites aux lettres savaient comme les gens leur confient leur sort, elles n'auraient pas l'air si tranquille
Anton Pavlovitch Tchekhov, Les Malheurs des autres.

Reçu le 12 juillet 2009
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Les religions ne sont que des quêtes du bon mode d'emploi de l'existence humaine.
Bernard Werber, Les Thanatonautes.

Envoyé le 02 juin 2009
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Il est difficile de rendre la beauté visible. Les gens ne reconnaissent que ses caricatures.
Jean Cocteau, Journal, 02.02.1943.

Reçu le 21 avril 2009
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C'était un hérétique né. Il ne croyait à rien, mais il croyait doublement à son incrédulité.
Herbert George Wells, Enfants des étoiles.

Envoyé le 28 décembre 2008
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... la cohérence pure, c'est du délire, c'est du délire abstrait.
Edgar Morin, Nul ne connaît le jour qui naîtra.

CARTE POSTALE

Reçu le 26 décembre 2008 (1)
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Dans le flou..., on n'attend pas de la clarté qu'elle fasse toute la lumière.
Jean Rouaud.
CARTE POSTALE
Reçu le 26 décembre 2008 (2)
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Et vos seins, double mont d'orgueil et de luxure - Entre quels mon orgueil viril parfois se guinde - Pour s'y gonfler à l'aise et s'y frotter la hure : - Tel un sanglier ès vaux du Parnasse et du Pinde.
Paul Verlaine, Oeuvres libres, Ouverture.

Envoyé le 26 novembre 2008
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... l'évolution des êtres organisés n'est qu'une lutte pour la plénitude de la conscience à travers la douleur, une constante aspiration à être autrui sans cesser d'être soi, à rompre ses bornes en se limitant.
Miguel de Unsamuno, Du sentiment tragique de la vie (1913).

Envoyé le 28 juillet 2008Pour agrandir, cliquez sur l'image



Pour bien nager, un joli caleçon de bain ne vaudra jamais une étendue d'eau.
Léo Campion


Reçu le 11 juillet 2008
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Chemin de fer. Le plus important des dispositifs mécaniques qui nous permettent de nous déplacer de là où nous sommes à là où nous ne serons pas mieux.
Ambrose Bierce, Le Dictionnaire du Diable (1911)


Envoi le 02 juillet 2008Pour agrandir, cliquez sur l'image


Dans ma commune, je n'ai que mon garde-champêtre à mettre au milieu de la cour.
Pierre-Yves Jardel, sur le service minimum à l'école, Libération, 16 mai 2008.

Reçu le 12 janvier 2007
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