Envoyé le 04/12/12
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Reçu le 03/12/2012
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Envoyé le 27/09/2012
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Reçu le 17/08/2012
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Envoyé le 03/07/2012
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Reçu le 18/06/2012
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Envoyé le 07/04/2012
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Reçu le 19/03/2012
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Envoyé le 09/03/2012
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Reçu le 07/01/2012
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Eh! qu'aimes-tu donc, extraordinaire étranger? -J'aime les nuages... les nuages qui passent... là-bas... là-bas... les merveilleux nuages!
Charles Baudelaire, Petits poèmes en proses ou le Spleen de Paris, L'Etranger, 1862.
Envoyé le 01 avril 2011
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Mon soleil se disait le seul soleil du monde .
Abraham de Vermeil
Reçu le 25 mars 2011
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(...) Et sous le porche obscur votre beauté si claire, / Aux pauvres éblouis montrait tout l'or des cieux.
José Maria de Heredia, Les Trophées, 1893.
Envoyé le 08 mars 2011
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La pomme de pin est depuis toujours un symbole de fécondité, de reproduction, d'éternel retour.
Jean-Paul Kauffmann, Courlande, 2009.
Reçu le 10 février 2011
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L'homme est un être hypnotisé par l'existence; par la société et ses futilités.
Daniel Desbiens, Maximes d'aujourd'hui.
Envoyé le 24 janvier 2011
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Il y a dans la végétation de ce pays longtemps brimé par l'hiver un côté explosif.
Jean-Paul Kauffmann, Courlande, 2009.
Reçu le 17 janvier 2011
La pipe et la plume sont les deux sauvegardes de ma moralité, vertu qui se résout en fumée par les deux tubes.
Gustave Flaubert, Correspondances, 15 juillet 1853.
Envoyé le 23 décembre 2010
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L'individu qui pense contre la société qui dort, voilà l'histoire éternelle, et le printemps aura toujours le même hiver à vaincre.
Alain, Propos de politique, 1934.
Reçu le 14 décembre 2010
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Les verts étaient de nuances si diverses qu'ils semblaient chanter une mélodie, à d'autres endroits ils paraissaient avoir le sourire d'une belle.
Robert Walser, Retour dans la neige.
Envoyé le 27 octobre 2010
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(...) tout artiste est semblable à un jardin : on ne peut pas le désherber une fois pour toutes (...)
Peter Brook, L'Espace vide - Ecrits sur le théâtre, 1968.
Reçu le 23 octobre 2010
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Déjà vous n'êtes plus - Qu'un mot d'or sur nos places - Déjà le souvenir - De vos amours s'efface - Déjà vous n'êtes plus - Que pour avoir péri.
Louis Aragon, Tu n'en reviendras pas.
Envoyé le 21 septembre 2010
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(...) tel un calice de fleur, Survolé en vue d'une fécondation mortelle.
Ernst Jünger, Journal de guerre, 1939-1948.
Reçu le 26 août 2010
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Théodore ne regardait plus que les chevaux, le poil luisant, humide, il y avait des chevaux trop jeunes qu'il faudrait laisser.
Louis Aragon, La Semaine Sainte, 1958.
Envoyé le 21 juillet 2010
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Nous nous installions dans le jardin et nous écoutions tomber les feuilles.
Jean-Paul Dubois, Une vie française, 2004.
Reçu le 29 juin 2010
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Les événements sont-ils liés les uns aux autres sans que nous sachions voir ces liens, ou se déroulent-ils selon un absurde hasard?
Cetin Altan, Ixe enseveli ou le petit jardin, 1980.
Envoyé le 23 mars 2010
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Venez au jardin, j'aimerais que mes roses vous voient.
Sheridan, L'Humour anglais.
Reçu le 22 février 2010
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Pierre Bordage, L'Ange de l'abîme, 2004
Les puissances de l'air sont ce peu de vent à travers les feuillages.
Pierre Michon, Rimbaud le fils.
Pierre Michon, Rimbaud le fils.
Il efface les monticules. Il est la substance qui fait fermenter les quartiers. Il effondre les tas de masures. Il prend comme avec des pincettes les locataires moisis, et les dépose plus loin.
Jules Romains, Les Hommes de bonne volonté, 1932-1946.
Jules Romains, Les Hommes de bonne volonté, 1932-1946.
Envoyé le 19 novembre 2009