vendredi 13 juin 2008

Claire L'Epée

Envoyé le 09/03/2012
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Reçu le 27.12.2011

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Reçu le 21 décembre 2012
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Envoyé le 07 décembre 2011
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Je crois que si l´on veut construire sur du sable, autant que ce soient des forteresses plutôt que des châteaux de cartes.
Georg Christoph Lichtenberg, Aphorismes, 1800-1806.

Recu le 01 décembre 2011
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J'ai accompli de délicieux voyages, embarqué sur un mot.
Honoré de Balzac
 Envoyé le 23 octobre 2011
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Tous les chats sont mortels, Socrate est mortel, donc Socrate est un chat.
Eugène Ionesco 
Reçu le 11 octobre 2011
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Le baroque est un abus de son propre style.
Jorge Luis Borgès 
 Envoyé le 10 octobre 2011
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C'est la partie de son corps qui est au dessous de la ceinture qui fait que l'homme ne se prend pas si facilement pour un dieu. 
Wilhelm Nietzsche, Par-delà bien et mal, 1886.

 Reçu le 30 septembre 2011
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Cinématographe, Art, avec des images, de ne rien représenter.
Robert Bresson, Notes sur le cinématographe, 1975.
 Envoyé le 16 août 2011
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Un ennuyeux s'ennuie chez les clowns. / Un joyeux s'amuse aux enterrements.
Félix Leclerc, Carcajou ou le Diable des bois.

Envoyé le 16 août 2011
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 C'est vrai que je suis épais comme un sandwich S.N.C.F.
Marche à l'ombre
Citations de Renaud Sé
Les bateaux de l´enfance ont l´ancre indélibile.
Hugo Lamark, Myrtille, 2010.
Recu le 16 août 2011
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Petit poisson deviendra grand, / Pouvu que Dieu lui prête vie.
Jean de la Fontaine, Fables, Le Petit poisson et le Pêcheur.

Recu le 27 juillet 2011
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Fables monstrueuses que les poètes ont controuvées.
Jacques Amyot
  Envoyé le 07 juillet 2011
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Et pourquoi les couleurs ne seraient-elles pas sœurs des douleurs, puisque les unes et les autres nous attirent  dans l'éternel?
Hugo de Hofmannsthal, Lettre d'un voyageur rentré dans son pays, 1907.

Envoyé le 06 juillet 2011
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Ses mouvements sont pleins d'une grâce chinoise, / Et près d'elle on respire autour de sa beauté / Quelque chose de doux comme l'odeur du thé. 
Théophile Gautier, Emaux et camées.
 Reçu le 25 juin 2011
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La sérénité est comme l'oiseau : si tu la laisses s'envoler tu auras du mal à la rattraper.
Alexandre Arnoux
 Reçu le 25 juin 2011
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La civilisation, c'est la violence maîtrisée, la victoire toujours inachevée sur l'agressivité du primate.
Muriel Barbery, L'Elégance du hérisson, 2006.

Envoyé le 07 juin 2011
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Une idée fixe aboutit à la folie ou à l'héroïsme.
Victor Hugo, Quatrevingt treize, 1874.

Envoyé le 07 juin 2011
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La vache est déjà folle; bientôt le maïs en aura un grain!
Laurent Ruquier, Il faut savoir changer de certitudes, 1999.

Reçu le 02 mai 2011
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Et dans les champs les coquelicots se fanent en se violaçant et en répandant une odeur opiacée.
Guillaume Apollinaire, Ombre de mon amour, 1947. 

Reçu le 30 avril 2011
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La pauvreté pousse à l'émigration, la richesse invite à l'expatriation mais une fois arrivés nous sommes tous des immigrés. 
Michel H.A. Patin
 Envoyé le 01 avril 2011
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Dieu n'a pas fait d'aliments bleus, il a voulu réserver l'azur pour le firmament et les yeux de certaines femmes.
Alphonse Allais, Le Chat Noir, 11 janvier 1890.
 
 Reçu le 18 mars 2011
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La girafe est l'hiéroglyphe de la vérité dans le monde animal.
Charles Fourier
 Envoyé le 03 février 2011
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Car les mythes sont à la religion ce que la poésie est à la vérité, des masques ridicules posés sur la passion de vivre.
Albert Camus, Noces. 
  Envoyé le 24 janvier 2011
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La jeune fille lui était apparue dans un nuage doré du crépuscule (...)
Nikos Kazantzaki, La Liberté ou la mort, 1956.

Reçu le 28 janvier 2011
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J'ai réinventé le passé pour voir la beauté de l'avenir.
Louis Aragon, Le Fou d'Elsa, 1963.

Envoyé le 10 janvier 2011
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J'aime les chats parce qu'il n'existe pas de chats policiers.
Jean Cocteau
 Reçu le 28 décembre 2010 (1)
 
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C'est vrai que je suis épais comme un sandwich SNCF.
Renaud, Marche à l'ombre. 

Reçu le 28 décembre 2010 (2)
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Quand on se bat pour de vrai, on ressemble à deux moulins à vent avec des ailes affûtées.
Terry Pratchett, Le Peuple du tapis, 1992.

Envoyé le 15 novembre 2010
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Pour un trèfle à quatre feuilles, la chance c'est quand personne ne le trouve.
Sylvain Tesson, Aphorismes sous la lune et autres pensées sauvages, 2008. 

Reçu le 29 octobre 2010
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Broute en train : vache espiègle qui, pour amuser ses compagnes, se fait la tête d'un passager de chemin de fer, l'oeil fixé sur un troupeau.
Alain Finkielkraut, Le Petit Fictionnaire illustré, 1981. 

Envoyé le 18 octobre 2010
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La civilisation est un produit naturel, tout comme l'état sauvage, ce sont des fleurs différentes poussées dans la même forêt.
Remy de Gourmont, Promenades littéraires , 1904-1928. 

  Reçu le 11 octobre 2010
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On ne voyait que la mer, le ciel, et maintenant la nuit qui enveloppait tout.
Pascal Quignard, Villa Amalia, 2006.
  Envoyé le 17 août 2010
 
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L'hirondelle, avec ses bobines de fil noir, coud les ombres.
Rosamond Lehmann, Adieu chansons!, 1940.

Reçu le 30 juillet 2010 (recto)
 
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La nature ne tient aucun compte de l'homme, de ses arts étranges, de ses cultes bizarres. 
Mary Webb, Le Poids des ombres, 1932. 

Reçu le 30 juillet 2010 (verso)
 
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Dans le jardin de l'hôtel des chats chantaient.
Paul Morand, Ouvert la nuit, 1922.

 Reçu le 20 juillet 2010
 
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Je voudrais que ces notes-ci, publiées rapidement, comme elles furent écrites, donnassent le goût de relire les vieilles et lentes relations de voyage (...) 
Paul Morand, Paris-Tombouctou, 1928.
  
Reçu le 18 juillet 2010
 
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L'accès au jardin des Hespérides est interdit aux hommes mortels, où le poète grec Pindare imagine que poussent en abondance des fleurs d'or.
Lucia Impelluso, Jardins, potagers et labyrinthes, 2007. 

 Envoyé le 21 juin 2010
 
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Les fruits étaient soumis à un enchantement tel qu'ils se laissaient manger à l'intérieur du jardin mais qu'ils ne se laissaient pas emporter (...)
Chretien de Troyes, Erec et Enide. 

Envoyé le 21 juin 2010
 
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Tous les après-midi, en sortant de l'école, les enfants allaient jouer dans le jardin du Géant.
Oscar Wilde, Le Géant égoïste, 1888. 
  Envoyé le 21 juin 2010
 
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Des fruits venus de hauteurs lointaines, de vergers encaissés entre des chemins ignorés (...)
Mary Webb, La Flêche d'or, 1933.
  Reçu le 05 juin 2010
 
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Il a lutté toute sa vie, sans se dégrader dans les méandres de la lutte, lutté contre tout (...)
René Char 
 Envoyé le 27 avril 2010
 
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- " Un raboliot, c'est un lapin de rabouillère -en Sologne on dit rabolière- encore au nid et au duvet, mais déjà dru et débourré."
Maurice Genevoix, Trente mille jours - souvenirs, 1980.

 Reçu le 09 avril 2010
 
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Il y a un tel gouffre entre chaque individu que si le ciment social n'est plus (...) nous sommes à chaque instant promis au précipice.
Serge Safran, Lettres gersoises, 1999.

Envoyé le 15 mars 2010
 
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Te voilà de retour, avale donc sans tarder, l'huile de foie de morue des réverbères de Leningrad sur les quais.
O.M. Mandelstam, 1930.
 Reçu le 17 février 2010
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(...) je sais seulement ce que je pense quand me le disent mes propres mots, une fois écrits.
Antonio Gamoneda, Poésie, existence, mort, revue Europe.

Envoyé le 15 janvier 2010Pour agrandir, cliquez sur l'image



On ne désire pas les étoiles, on se réjouit de leur splendeur.
Goethe.
Reçu le 28 décembre 2009
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Avec mes gains au casino, je me suis acheté une casquette de yachtman; avec mes pertes, j'aurais pu me payer le bateau.
Paul, dit Tristan Bernard.

Envoyé le 04 novembre 2009
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La piste restait aux enfants. Quand un automobiliste en écrasait un, il s'arrêtait parfois, payait un tribut aux parents et repartait.
Marguerite Duras, Un barrage contre le Pacifique, 1950.

Reçu le 26 octobre 2009
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Ouuuh! Là... je sens mes rhumatismes; c'est signe que le climat de la planète va changer.
Philippe Geluck, Le Tour du chat en 365 jours, 2006.

Envoyé le 17 septembre 2009
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En cueillant ses pétales, vous ne saisissez pas la beauté de la fleur.
Rabindranath Tagore.
Reçu le 01 septembre 2009
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On a beaucoup ri d'un télégramme que Mauriac a reçu peu de jours après la mort de Gide et ainsi rédigé : " Il n'y a pas d'enfer. Tu peux te dissiper. Préviens Claudel. (signé) André Gide."
Julien Green, Le Miroir intérieur, 1976.

Envoyé le 08 août 2009
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La mer n'efface pas les empreintes de pas des enfants sur les plages. Elle les emporte pour faire des moules à gâteau destinés aux mamans des petits poissons sages.
Patrick Sébastien, Carnet de notes, 2001.

Reçu le 23 juillet 2009
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Ce que vous m'amusez! s'écria-t-elle tout à coup en plongeant sa figure dans ses mains. Et moi, bonne bête, qui discutais sérieusement sans m'apercevoir que vous me faisiez monter à l'arbre.
Marcel Proust, A la recherche du temps perdu, Du côté de chez Swann, 1913.

Envoyé le 26 mai 2009
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Tels sont les quatres âges de l'amour : il naît dans les bras du dédain, il croît sous la protection du désir, il s'entretient avec les faveurs et meurt empoisonné par la jalousie.
Pedro Calderon de la Barca, Le Pire n'est toujours pas certain.

Reçu le 28 avril 2009
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N'importe quel imbécile peut fermer l'oeil, mais qui sait ce que voit l'autruche dans le sable.
Samuel Beckett, Murphy, 1938.

Réponse le 07 octobre 2008
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Vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n'est à personne.
Jean Jacques Rousseau, Discours sur l'inégalité (1755).

Reçu le 01 août 2008
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Les frères Goncourt, Journal tome 1


Envoi le 16 Juin 2008Pour agrandir, cliquez ici



J'ai fondé la société protectrice des végétaux. Nous sommes en train de poser des matelas sous les arbres pour amortir la chute des feuilles.

Alphonse Allais, Notes intimes.

Reçu le 02 juin 2008
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Il y a des gens qui vous laissent tomber un pot de fleurs sur la tête d'un cinquième étage et qui vous disent : je vous offre des roses.
Victor Hugo, Tas de pierres (1901)

Reçu le 30 mars 2008
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Je touche délicatement à des matières délicates.
Jean de Rond d'Alembert, Lettre à Voltaire (03 mars 1766)

Reçu le 15 mars 2008
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Saviez-vous que dans la langue chinoise, il n'y a pas de mot pour désigner le bonheur? Il y a une foule d'idéogrammes : chacun représentant une situation heureuse.
Robert Blondin, Le bonheur possible.

Reçu le 02 décembre 2006
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La frontière avec l'au-delà est une passoire.
Gilles Lapouge, Equinoxiales (1977).

Reçu le 11 novembre 2006
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Pleure : les larmes sont les pétales du coeur.

Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard.

Reçu le 08 août 2006
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La terre est bleue comme une orange.
Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard.

Reçu le 06 janvier 2005
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Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers,- Picoté par les blés, Fouler l'herbe menue : - Rêveur, j'en sentirai la fraicheur à mes pieds.
- Je laisserai le vent baigner ma tête nue.

Arthur Rimbaud, Poésies, Sensation (1870-1871).

Reçu le 08 novembre 2004

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