vendredi 13 juin 2008

Fabienne Ruaut-Lichet

La femme est le chef-d´oeuvre de Dieu surtout quand elle a le diable au corps.
Alphonse Allais
Envoyé le 06 décembre 2011
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Une coquette définissait la vieillesse : des printemps accumulés.
Anne Barratin, De Vous à moi, 1892.

Recu le 26 novembre 2011
Pour agrandir, cliquez sur l´image



Son geste accentuait la puissance de sa voix.
Louis Barthou, Danton.
 Envoyé le 15 novembre 2011
 
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Le vrai blason de chacun, c'est son visage.
Marcel Jouhandeau, De l'abjection. 

Reçu le 14 novembre 2011
 Pour agrandir, cliquez sur l'image



Moi qui sait des lais pour les reines / Les complaintes de mes années / Des hymnes d´esclave aux murènes / La romance du mal-aimé / Et des chansons pour les sirènes.
Guillaume Apollinaire, Alcools, La chanson du mal-aimé, 1913.

Envoyé le 23 septembre 2011
Pour agrandir, cliquez sur l´image



%0@
Les yeux agrandis par la maigreur, avaient une limpidité, un éclat et une expression extraordinaires.
Théophile Gautier, Portraits contemporains.

Recu le 27 août 2011
Pour agrandir, cliquez sur l´image



Dans l´art, il n´y a ni formes, ni objets. Il n´y a que des événements, des surgissements, des apparitions.
André Masson
Envoyé le 22 juillet 2011
Pour agrandir, cliquez sur l'image


un sourire, à peine, une silhouette, un filigrane dans une page barbouillée.
Georges Borgeaud, Le Voyage à l´étranger, 1974.

Recu le 22 juillet 2011
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Dieu ne fit la mort que pour des raisons de commodité.
Avicenne, Traité sur la délivrance de la crainte de la mort.

Envoyé le 07 juin 2011
 Pour agrandir, cliquez sur l'image



Face au monde qui change, il vaut mieux penser le changement que changer le pansement.
Francis Blanche 
 Reçu le 20 mai 2011
 Pour agrandir, cliquez sur l'image


De la couleur violette (amour contenu, mystérieux, voilé, couleur de chanoinesse).
Charles Baudelaire, Journaux intimes, Fusées II, 1887.

  Envoyé le 11 mars 2011
 Pour agrandir, cliquez sur l'image



Il apporte avec lui tous les visages du monde (...)
Albert Camus, Le Mythe de Sisyphe, 1942.

Reçu le 25 février 2011
 Pour agrandir, cliquez sur l'image



Je suis inculte parce que je n'en pratique aucun, et insecte parce que je me méfie de toutes.
Raymond Queneau
 Envoyé le 10 janvier 2011
 Pour agrandir, cliquez sur l'image



L'ennui est l'expression suprême de l'indifférence.
Ricardo Leon, L'Ecole des sophistes. 

Reçu le 18 décembre 2010
 Pour agrandir, cliquez sur l'image



L'histoire d'un physicien racontée par une particule bêta ressemblerait aux "Voyages de Gulliver".
Bertrand Russel, ABC de la relativité. 

Envoyé le 12 décembre 2010
Pour agrandir, cliquez sur l'image

 

C'est l'angélus qui sonne là, très près, au-dessus de nous dans le clocher; et l'air s'emplit de vibrations d'airain.
Pierre Loti, Mon frère Yves, 1883.

Reçu le 15 novembre 2010
 Pour agrandir, cliquez sur l'image



Etre môme du pavé, enfant de purotins; nez au vent, mains dans les poches, des copains en pagaille, c'est Noël tous les jours.
François Cavanna, Les Ritals, 1978. 

Envoyé le 18 octobre 2010
Pour agrandir, cliquez sur l'image

 

Mon Automne éternelle ô ma saison mentale - Les mains des amantes d'antan jonchent ton sol - Une épouse me suit c'est mon ombre fatale - Les colombes ce soir prennent leur dernier vol.
Guillaume Apollinaire, Alcools, Signe, 1913.

Reçu le 09 octobre 2010
  
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Tous les hommes craignent de se faire posséder par une sirène.
Paule Constant, La Bête à chagrin, 2007. 

 Envoyé le 18 septembre 2010
Pour agrandir, cliquez sur l'image
  


C'est aussi bien que le fusain, ça fait du beau trait sur le papier fort.
Jean-Paul Malaval, L'homme qui rêvait d'un village, 2008.

 Reçu le 02 septembre 2010
 
 Pour agrandir, cliquez sur l'image



J'ai des amis de quoi peupler de fourmis cette montagne, de quoi peupler de trirèmes un océan et de rameurs.
Max Jacob, Le Cornet à dés, 1923.
  Envoyé le 23 juillet 2010
 
 Pour agrandir, cliquez sur l'image



Entre le regard et la mémoire, les hommes sont déchirés.
Hubert Nyssen, Le Nom de l'arbre.
  Reçu le 17 juillet 2010
 
Pour agrandir, cliquez sur l'image


 
Toutes les formes sont semblables et aucune ne ressemble à l'autre.
Goethe 
  Envoyé le 18 juin 2010
 
 Pour agrandir, cliquez sur l'image



(...) on croit s'aimer juste un seul soir et on s'est donné pour la vie (...)
Rezvani, Le Roman d'une maison, 2001. 

Reçu le 28 mai 2010
 
Pour agrandir, cliquez sur l'image



S'ils tombent amoureux d'un être humain, ils peuvent décider de rester sur terre.
Martin H. Greenberg et Ed Gorman, Petits meurtres entre chats à Hollywood, 1999

 Envoyé le 27 avril 2010
 
 Pour agrandir, cliquez sur l'image



De belles choses à voir et à entendre; des êtres magnifiques à contempler - auxquels penser plus tard. (...) Ensuite, on devrait pouvoir vivre dans une solitude absolue.
Rosamond Lehmann, Adieu chansons!, 1940.

Reçu le 18 avril 2010
 
Pour agrandir, cliquez sur l'image
 


Lorsqu'il s'éloigna, le parc était désert, le château silencieux, les derniers lampions achevaient de s'éteindre, et les coqs éveillaient le jour.
Jules Sandeau, Mademoiselle de la Seiglière, 1934. 

Envoyé le 23 mars 2010
Pour agrandir, cliquez sur l'image

Mais quand ils chancellent je vois bien qu'ils sont deux, ils ont beau se serrer désespérément, on voit bien que c'est deux corps distincts et séparés, chacun enfermé dans ses frontières (...)
Samuel Beckett, Malone meurt, 1951.
 Reçu le 04 mars 2010
Pour agrandir, cliquez sur l'image


Ton coeur palpite comme celui d'un petit moineau tombé du nid et qui est incapable de reprendre son élan.
Abdellatif Laâbi, Le Fou d'espoir, 2000.

 Envoyé le 06 janvier 2010
 
Pour agrandir, cliquez sur l'image

Sa propre identité s'effaçait et se perdait dans la grisaille d'un monde impalpable.
James Joyce, Gens de Dublin, 1914.
Reçu le 03 février 2010Pour agrandir, cliquez sur l'image



(...) la grande tradition grecque qui veut que l'on fasse sécher au soleil ses rêves.
Yves Bonnefoy, 1990.
Envoyé le 15 janvier 2010Pour agrandir, cliquez sur l'image



C'est une erreur de croire que nos sens transmettent fidèlement la réalité.
Arthur Koestler et Andor Nemeth, Au chat qui louche, 1932.

Reçu le 30 décembre 2009Pour agrandir, cliquez sur l'image



Je trouverai bien un cargo, une jungle, une guérilla, une arme automatique, une cause perdue (...)
Cyril Collard, 1988.
Envoyé le 11 décembre 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



On entrait dans son regard comme dans un bain et ses yeux avaient la couleur de l'eau où le nageur lit encore le fond à plus de cent mètres du rivage.
Paul Morand, sur Gene Tierney.
Reçu le 10 décembre 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Il faut se mettre nu devant un beau poème comme devant l'été dans les jours du mois d'août.
Pierre-Albert Birot, Poésie, 1916-1924.
Envoyé le 27 novembre 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Le bonheur a les yeux fermés.
Paul Valéry, Mauvaises pensées et autres.
Reçu le 27 novembre 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Une lettre, vous savez, ce n'est pas un écho, c'est un papillon, c'est une rencontre qui, sous l'apparence d'une circonstance fortuite, dit soudain l'essentiel, les yeux dans les yeux sans ciller.
Eric Holder, La Correspondance, 2000.
Envoyé le 04 novembre 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image




Deux ou trois fois par jour... au milieu de ce culte, le courrier multicolore, radieux et bête comme un oiseau des îles, tout frais émoulu des enveloppes marquées de noir par le baiser de la Poste, vient tout de go se poser devant moi.
Francis Ponge, Le parti pris des choses, Tome premier, 1942.
Reçu le 26 octobre 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



La forêt, c'est encore un peu du paradis perdu. Dieu n'a pas voulu que le premier jardin fût effacé par le premier péché.
Marcel Aymé, Clérambard, 1950.
Envoyé le 08 octobre 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



La psychanalyse est au subconscient ce que la cartographie est aux dunes du Sahara.
Anonyme.
Reçu le 01 octobre 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Nous sommes ici-bas pour rire. - Nous ne le pourrons plus au purgatoire ou en enfer. - Et, au paradis, ce ne serait pas convenable.
Jules Renard, Journal, 25 juin 1907.
Envoyé le 21 septembre 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Il n'est pas de genres inférieurs; il n'est que des productions ratées, et le bouffon qui divertit prime le tragique qui n'émeut pas.
Georges Courteline, La Philosophie de Georges Courteline.

Reçu le 12 septembre 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



La maison est à l'envers lorsque la poule chante aussi haut que le coq.
Seigneur de la Hérissaye Du Fail, Contes et discours d'Eutrapel, 1585.

Envoyé le 15 juin 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image




Tout, je voudrais le conquérir - Toutes les faveurs des dieux - Et posséder le savoir - Etreindre l'art entier.
Karl Marx, Poème composé en 1836.

Envoyé le 04 juin 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Elle s'occupe un peu de couture... elle pourra toujours nous aider pour les bricoles.
Henri Troyat, La Tête sur les épaules, 1951.

Reçu le 27 mai 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Il y a des jours où je vois la société comme un grand casino où le "progrès et ses enjeux" en est le jeu de "bluff" par excellence et où les as ne sont que des jokers.
Daniel Desbiens, Maximes d'aujourd'hui.

Envoyé le 18 mai 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image




On ne parle jamais aussi bien qu'aux visages inaccessibles.
Henri Gougaud, Paramour.

Reçu le 21 avril 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image




C'est à la culotte de ses filles qu'on juge un pays.
Frédéric Dard

Envoyé le 15 avril 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Le rêveur! ce double de notre être, ce clair-obscur de l'être pensant.
Gaston Bachelard.
Reçu le 16 mars 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image




La vie est un jeu de cartes dont le coeur n'est jamais l'atout.
Marcel Achard.
Envoyé le 09 mars 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



L'homme qui maniait les cartes ainsi devait être leur maître... Il y avait dix ans de tripot dans cette foudroyante et augurale manière de donner.
Jules Amédée Barbey d'Aurevilly, Les Diaboliques, 1874.


Reçu le 20 février 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



La conscience de soi n'est pas un regard tourné au-dedans de soi, mais aptitude à se voir de l'extérieur (...) et ce regard-là a besoin d'être entretenu sans cesse par des reflets glanés sur les vitres, dans les flaques d'eau...
Serge Coutel, L'Envolée.
Reçu le 06 février 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



A l'envers des nuages, il y a toujours un ciel.

Mûhammad Al-Faytûry
Envoyé le 31 janvier 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



(...) on avait vu de loin se profiler au bord de la route sa silhouette.
Marcel Jouhandeau, Les Garçons, 1948.

Reçu le 24 janvier 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Plus le corps est faible, plus il commande; plus il est fort, plus il obéit. Toutes les passions sensuelles logent dans des corps efféminés; ils s'en irritent d'autant plus qu'ils peuvent moins les satisfaire.
Jean-Jacques Rousseau, Emile ou De l'éducation, 1762.

Envoyé le 14 janvier 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Le détournement, c'est-à-dire le réemploi, dans une nouvelle unité d'éléments artistiques prééxistants, est une tendance permanente de l'actuelle avant garde.
" Internationale Situationiste" 1959.

Reçu le 03 janvier 2009
Pour agrandir, cliquez sur l'image



L'orgueil a le visage ambigu de Janus...
Bernard Frank, Interminables funérailles, 1958.

Envoyé le 28 décembre 2008Pour agrandir, cliquez sur l'image



Et si n'avoit point en la machouaire de dessus les dents distinguées l'une de l'autre, ains estoit un os continuel marqué un peu par dessus de petites coches aux endroits où les dents devoient estre divisées.
Jacques Amyot, Pyrrhus, 16.
Reçu le 27 décembre 2008
Pour agrandir, cliquez sur l'image


La folie existe parce que la mort couve, que tout homme s'y sent voué, qu'il l'abhorre et qu'il se la cache.
Eliane Amado, Fondements de la psychopathologie.

Envoyé le 01 décembre 2008
Pour agrandir, cliquez sur l'image



L'amour a cela qu'il s'attache et se lie à tout ce qu'il trouve comme fait le lierre.
Jacques Amyot, Comment il faut ouïr, 19;

Reçu le 24 novembre 2008
Pour agrandir, cliquez sur l'image



La beauté de la femme est un fruit délicat : elle fleurit partout, mais elle ne mûrit qu'en espalier contre un mari.
Edmond About.
Envoyé le 11 novembre 2008
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Vous êtes innocent de la tête que vous avez, mais vous êtes responsable de la gueule que vous faites.
Anonyme.
Reçu le 04 novembre 2008
Pour agrandir, cliquez sur l'image




Dissident : Personnage que le dictateur combat sans pour autant souhaiter sa mort car l'occis gêne.
Marc Escayrol, Mots et grumots, 2003.

Reçu le 13 octobre 2008
Pour agrandir, cliquez sur l'image




Jumelles voient de loin quand près des yeux. - Loin de soi, près du coeur, amoureux.
Charles de Leusse, Le Sablier.

Reçu le 22 septembre 2008
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Des jumeaux vrais ne sont qu'un seul être dont la monstruosité est d'occuper deux places différentes dans l'espace.
Michel Tournier, Les Météores (1975).

Réponse le 04 septembre 2008
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Plus vous emprisonnez l'art dans les cloisons du quotidien, et plus le quotidien cesse d'être de l'art. Au soir venu : des ombres, des âmes mortes, le sépulcre.
Jacques Phytilis, fragments d'un poème de la nature (2003)

Reçu le 23 août 2008Pour agrandir, cliquez sur l'image


Les seuls espaces libres sont les cimetières dont la superficie dépasse presque, dans Paris même, la superficie des jardins. Honneur à la ville qui prévoit plus d'oxygène pour ses morts que pour ses vivants.
Jean Giraudoux.
Envoyé le 30 juillet 2008Pour agrandir, cliquez sur l'image



Je divaguerai des jours entiers des arceaux du fou rire aux arcs-en-ciel du délire - et tu n'y pourras rien.
Roselyne Devichi, Vanille poivre.

Reçu le 18 juillet 2008Pour agrandir, cliquez sur l'image


L' orgueil est une folie de l'esprit, et je crois qu'il peut être une cause de démence physique. Ce qui semble le prouver est que les fous rêvent presque toujours le pouvoir, et s'imaginent tous être de grands personnages, même rois ou papes.
Louis de Bonald, Oeuvres complètes tome3, Pensées.


Envoi le 02 juillet 2008Pour agrandir, cliquez ici

Voici que meurt l'Afrique des empires, c'est l'agonie d'une princesse pitoyable. Et aussi l'Europe à laquelle nous sommes liés par le nombril.
Léopold Sedar Senghor, "Prière aux masques", Liberté.


Reçu en juin 2008
Pour agrandir, cliquez ici


Je compris alors que le travail est un trésor. Le travail des autres, cela va de soi.

H. Jeanson, Soixante-dix ans d'adolescence.


Envoi en mai 2008
Pour agrandir, cliquez ici


L'acquiescement éclaire le visage. Le refus lui donne la beauté.

René Char, Fureur et Mystère.


Reçu le 14 mai 2008
Pour agrandir, cliquez ici


Quelle variété depuis la ligne serpentine du front jusqu'à celle de la bouche, en passant par les si purs sourcils et l'oeil mystérieux.
André Lhote, Traités du paysage et de la figure.

Reçu le 27 mars 2008
Pour agrandir, cliquez sur l'image


J'essaye de formuler avec la plus grande clarté la vérité de l'art et de la vie.
Modigliani.
Reçu le 24 février 2008
Pour agrandir, cliquez sur l'image


Il y a une logique colorée, parbleu. Le peintre ne doit obéissance qu'à elle.
Cézanne.
Reçu le 08 février 2008
Pour agrandir, cliquez sur l'image


Ainsi, au lieu d'une figure vous mettez l'ombre seulement d'un personnage; c'est un point de départ original dont vous avez calculé l'étrangeté .
Paul Gauguin, 1889.
Reçu le 04 janvier 2008
Pour agrandir, cliquez sur l'image


Je suis toujours à la recherche du bleu. Les figures de paysans, ici, en règle générale, sont bleues.
Vincent Van Gogh, à son frère Théo (Arles, 1888).

Reçu le 23 décembre 2007
Pour agrandir, cliquez sur l'image


La figure débute par le contraste géométrique le plus radical.
André Lhote, Traités du paysage et de la figure.

Reçu le 22 novembre 2007
Pour agrandir, cliquez sur l'image


Mes dessins inspirent et ne se définissent pas. Ils ne déterminent rien.
Odilon Redon, A soi-même, Journal, 1867-1915.

Reçu le 08 novembre 2007
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Heureux celui qui parvient à l'Occident, alors qu'il est dans la main de Dieu.
Aménémopé.
Reçu le 22octobre 2007
Pour agrandir, cliquez sur l'image


Un bleu turquoise, bleud mourant, bleud de la febve.
d'Aub, Livres de D'Aub [Faen.1, 2]

Reçu le 14 octobre 2007
Pour agrandir, cliquez sur l'image


Les plus beaux livres sont ceux qui n'ont jamais été écrits.
Anatole France.
Reçu le 29 septembre 2007
Pour agrandir, cliquez sur l'image


La petite danseuse ne craignait rien; elle ne disait pas la bonne aventure, ce qui la mettait à l'abri de ces procès de magie si fréquemment intentés aux bohémiennes.
Victor Hugo, Notre-Dame de Paris (1831).

Reçu le 30 août 2007
Pour agrandir, cliquez sur l'image


La photographie, c'est la conscience même de la peinture. Elle lui rappelle sans cesse ce qu'elle ne doit pas faire. Que la peinture prenne donc ses responsabilités.
Brassaï, L'Intransigeant (1932).

Reçu le 26 juillet 2007
Pour agrandir, cliquez sur l'image


La météorologie, c'est l'art de prévoir ce qui change tout le temps.
Francis & Dac, Pierre Blanche, Almanach de l'os à moelle (pensée du 31 juillet 1981)

Reçu le 15 juillet 2007
Pour agrandir, cliquez sur l'image


L'art du clown va bien au de-là de ce qu'on pense. Il n'est ni tragique ni comique. Il est le miroir comique de la tragédie et le miroir tragique de la comédie.
André Suarès, Remarques, Essais sur le clown.

Reçu le 10 juillet 2007
Pour agrandir, cliquez sur l'image


(...) la couleur, la couleur pure, jaillie du tube, chargée d'affectivité, douée de pouvoirs incantatoires, propre, plus qu'aucun autre moyen d'expression, à rendre et à communiquer l'ivresse cosmique.
Jean Cassou, Panorama des arts plastiques contemporains.

Reçu le 30 juin 2007
Pour agrandir, cliquez sur l'image


Je peins les gens pour apprendre à les connaître.
Suzanne Valadon.
Reçu le 20 juin 2007
Pour agrandir, cliquez sur l'image


Nous sommes riches aussi de nos misères.
Antoine de Saint-Exupéry, Vol de nuit.

Reçu le 18 avril 2007
Pour agrandir, cliquez sur l'image


Le désert est malentendu, un mauvais lit pour le sommeil et le songe, une page blanche pour la nostalgie.
Tahar Ben Jelloun. Sahara.
Reçu le 09 mars 2007

Pour agrandir, cliquez sur l'image



Toute oeuvre (de peinture) est à la fois image, représentation et présence d'une existence.
Gaëtan Picon.
Reçu le 13 mars 2006
Pour agrandir, cliquez sur l'image



Le rouge est infernal, vivant et puis féroce.
Maurice Utrillo, écrit à la maison de santé d'Ivry.

Reçu le 12 février 2006
Pour agrandir, cliquez sur l'image

Aucun commentaire: