vendredi 13 juin 2008

Nicole Eippers


Envoyé le22/12/2011
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Reçu le 19/12/2011 

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Envoyé le 09 décembre 2012
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Il est consolant de penser que si la folie ne gagne rien au contact de la raison, en revanche, la raison s´altère au contact de la folie.
Georges Courteline, La philosophie de Georges Courteline, 1917-1922.
Reçu le 30 novembre 2011
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Il y a des idées qui partent comme de la poudre et dáutres qui cuisent comme des choux.
Paul Claudel
Recu le 30 novembre 2011
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C'est laid, c'est obscène, les regards des hommes! Cela se pose sur vous comme des chenilles, comme des limaces, cela se glisse partout. 
Jean Anouilh, L'Invitation au château. 

Envoyé le 15 novembre 2011
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De nos jours / Y a des fantômes même en plein jour.
Michel Berger, Les Accidents d'amour. 

Envoyé le 14 novembre 2011
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Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges jeter l'ancre un seul jour.
Lamartine, Méditations poétiques, 1820. 

Reçu le 12 novembre 2011
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Le prolétariat tient pour l'humanité contre les pouvoirs. 
Alain, Mars ou la Guerre jugée, 1921.

Envoyé le 31 octobre 2011
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Les jambes de vingt ans sont faites pour aller au bout du monde.
Christian Bobin, Le Très-bas.
 Reçu le 27 octobre 2011
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L'âge moderne représente le triomphe de la médiocrité collective.
Gustave Le Bon, Hier et Demain.

Envoyé le 03 octobre 2011
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Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre, / que serais-je sans toi qu´un coeur au bois dormant.
Louis Aragon, Que serais-je sans toi, interprété par Jean Ferrat, 1964.

Recu le 08 septembre 2011
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Le monde a fait de moi une putain; je veux faire du monde un bordel.
Friedrich Dürrenmatt, La Visite de la vieille dame.
 Envoyé le 16 août 2011
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La mer qui se lamente en pleurant les sirènes.
José Maria de Heredia
Reçu le 10 août 2011
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T´aurais beau pleurer, pleurer, pleurer toutes les larmes de ton corps, ca t´empêchera pas de pisser.
Jean-Marie Gourio, Brèves de comptoir, 1988. 

Envoyé le 30 juillet 2011
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Quand une jumelle est très jolie, sa soeur l´est aussi.
Claude Frisoni, Frisoni soit qui mal y pense.

Recu le 12 juillet 2011
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C'est pour la plupart des hommes un exemple décourageant que la sérénité d'un cochon.
Anatole France, La Vie littéraire, 1888. 

Envoyé le 07 juillet 2011
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O Nuit ne va ôtant le masque et la feintise / Dont sur l'humain théâtre en vain on se déguise / Tandis que le jour luit.
Guillaume de Salluste, Seigneur du Bartas, La Semaine.

Reçu le 01 juin 2011
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Couper le téléphone chez soi, de temps en temps, est une jouissance comparable à celle de la ballerine qui enlève ses chaussons et son tutu.
José Artur
 Reçu le 19 mai 2011
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Les rillettes, c'est jamais que des cochonneries...
Laurent Ruquier, Vu à la radio, 2001.

Envoyé le 22 avril 2011
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Etre monstrueux, génial, féerique, était-ce un adulte nain  bloqué dans son développement à la taille d'un enfant, était-ce au contraire un bébé géant, comme sa silhouette le suggérait?
Michel Tournier, Le Roi des Aulnes, 1980.

 Reçu le 13 avril 2011
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Il s'agissait aussi de nous peindre le monstre qui est un sanglier très redoutable (...)
Paul Valéry, Variété.
  Envoyé le 01 avril 2011
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Ce coup final, le monde va "l'encaisser", notre monde, boxeur exténué que la fatalité presse et harcèle sans répit.
Georges Duhamel, Récits des temps de guerre.
 Reçu le 30 mars 2011
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Une pièce de théâtre doit être le lieu où le monde visible et le monde invisible se touchent et se heurtent.
Arthur Adamov, Ici et maintenant.   
Envoyé le 22 mars 2011
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Je ne suis pas une autruche, je regarde les choses en face.
Louise de Vilmorin
 Reçu le 09 mars 2011
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Les aveugles, méthodiquement, vivent avec la souveraineté à l'écart.
Francis Picabia, L'îlot du beau séjour dans le canton de nudité, 1918.

Envoyé le 11 février 2011
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Tigres royaux, panthères, léopards furent désormais les commensaux et les complices d'Héliogabale.
Fernand Méry, Les Animaux célèbres, 1964.

Reçu le 08 février 2011
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Cannibale : gastronome de l'ancienne mode qui reste attaché aux saveurs simples et qui milite pour l'alimentation naturelle pré-porcine.
Ambrose Bierce, Le Dictionnaire du diable, 1911.

 Envoyé le 24 janvier 2011
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Le bal des innocents battait son plein / Les uns conne cette femme ont l'air de nager.
André Breton, Clair de terre, 1923.
  
Reçu le 15 janvier 2011
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Si c'était le singe qui descendait de l'homme, est-ce qu'on irait au cirque?
Patrick Sébastien, Carnet de notes, 2001.

Envoyé le 23 décembre 2010
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On s'intéresse à ses membres comme parties de son corps, pourquoi pas aux hommes comme parties de l'humanité?
Le Dalaï-Lama
  Reçu le 23 décembre 2010
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Cependant que l'acrobate est en proie à l'équilibre le plus instable, nous faisons un voeu. 
Paul Valérie, Autres rhumbs.

 Reçu le 13 décembre 2010
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Je me souviens d'un corps animal sous une tête humanoïde.
Marcel Moreau, 2000.
  Envoyé le 10 décembre 2010
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Dans un grenier où je fus enfermé à douze ans, j'ai connu le monde, j'ai illustré la comédie humaine.
Arthur Rimbaud, Illuminations, 1873-1875.

 Reçu le 29 novembre 2010
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(...) quand on sentira le frôlement d'aile de l'Ange du bizarre qui survole souvent ces villes, ces mers, ces têtes de cochon, de chats, de dragons (...)
Brigitte Fontaine, Nouvelles de l'exil, 1988.

Envoyé le 15 novembre 2010
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Jaurès doit se retourner dans sa tombe : le socialisme est devenu aussi étranger au social que le culturisme à la culture.
Patrick Sébastien, Carnet de notes, 2001. 
 Reçu le 05 novembre 2010
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L'art du clown va bien au-delà de ce qu'on pense. Il n'est ni tragique ni comique. Il est le miroir comique de la tragédie et le miroir tragique de la comédie.
André Suarès, Remarques, Essais sur le clown. 

 Envoyé le 18 octobre 2010
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(...) c'est notre propre reflet que nous cherchons toujours, penchés sur le miroir qui nous renvoie une image inattendue, diffractée (...)
Isabelle Jarry, Le Jardin Yamata, 1999.
  
Reçu le 06 septembre 2010
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(...) j'ai besoin de plonger mes yeux dans le regard d'un autre être, et de sentir autour de moi le tournoiement de la grande kermesse humaine.
Paul Gadenne, Le jour que voici, 1933.

Envoyé le 21 septembre 2010
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(Les artistes ont pour fonction) de voir et de nous faire voir ce que nous n'apercevons pas naturellement.
Bergson, La Pensée et le Mouvant. 

Reçu le 27 août 2010
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S'il y avait une secte à stigmatiser, ce serait celle de la pensée unique, à laquelle l'humanité dans son ensemble est en voie d'adhérer.
Michel Thevoz, Tout va bien, 2004.
 Envoyé le 17 août 2010
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(...) cet animal, appelé par le fantôme, accourra joyeux vers l'Illusion, la reconnaîtra, sans hésiter, au seul flairer des vêtements qu'elle portera?
Villiers de l'Isle-Adam, L'Eve future, 1890. 

Reçu le 23 juillet 2010
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(...) la vie fonctionne en nous et autour de nous, dans une implacable rigueur de machine!
Paul Bourget, La Duchesse bleue, 1932.

Envoyé le 14 juillet 2010
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(...) fausse nuit, fille aux cheveux d'écume issue de l'eau dormante.
Claude Roy, La Nuit, Poésie 1940-1950.
  
Reçu le 30 juin 2010
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Leur venue a néanmoins été précédée de quelques prodiges, chaque ange annonçant le suivant (...)
Roselyne Devichi, Puisque les anges m'indiffèrent, revue Passage d'encres, 2008. 

 Envoyé le 21juin 2010
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(...) S'enfoncer dans ce que tu ne connais pas /  S'habituer à voir avec d'autres yeux / Pour que surgisse ce qui te hante (...)
Claudine Bohi, Il pleut parfois...
 Reçu le 18 juin 2010
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Mon coeur s'ouvre au-delà des murs. Il s'envole avec un bruissement d'ailes dans l'air bleuté.
Myriam Anissimov, Comment va Rachel?, 1973.
 

 Envoyé le 21 mai 2010
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La mer était d'un bleu absolu, un bleu drapeau, avec des îles de rêve lointaines qui se chevauchaient à l'infini.
Michel Duchemin, Neuf filles pour un garçon, 1952.

 Reçu le 05 mai 2010
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Ils ne courent pas dans tous les sens pour trouver des choses à faire parce qu'ils ont tout ce qu'il leur faut en eux-mêmes (...)
Jack Kerouac, Les Anges vagabonds, 1965. 

 Envoyé le 27 avril 2010
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Et quand il me caressait en frôlant mon visage de ses feuilles, j'éprouvais un bonheur si doux que j'en perdais le souffle. Je m'appuyais au tronc pour ne pas tomber.
Mircea Eliade, La Nuit bengali, 1933.
Reçu le 31 mars 2010
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Le curieux et l'exotique ne sont pas mon rayon. C'est la verticalité du monde qui m'attire.
Janos Pilinszky, Trois autels et autres récits.

Envoyé le 15 mars 2010
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 (...) comme surprise elle-même de sa propre cruauté, elle s'était arrêtée net au milieu de sa phrase.
Dominique Noguez, Amour noir, 1997.

 Reçu le 11 février 2010
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Attirant les hommes, Callisto, de vierge accède au statut de femme, déjà rivale, une étoile figée dans le ciel.
Claire Squires, Et si c'est une fille?, in Mères et filles - la menace de l'identique, 2003.

Envoyé le 06 janvier 2010Pour agrandir, cliquez sur l'image




Ah, voir des bandeaux du couchant - Mourir dans le nuit des sapins, - En s'enivrant de cette voix - Qui ressemblait tant à la tienne.
Anna Akhmatova, Anthologie de la poésie russe, par J. David.

Reçu le 16 décembre 2009
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Il n'y a pas d'oeuvre d'art sans collaboration du démon.
André Gide.
Envoyé le 11 décembre 2009
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Je commence à découvrir le bonheur. Il ne ressemble pas du tout à l'existence.
Louis Pauwels, Saint Quelqu'un, 1946.

Reçu le 10 décembre 2009
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L'absurdité est la trame de notre existence.
Léonard C. Pronko, Théâtre d'avant-garde.

Envoyé le 27 novembre 2009
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Les femmes n'aiment ni les hommes ni les femmes mais les bébés.
Philippe Sollers, Une vie divine, 2006.

Reçu le 14 novembre 2009
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Cochon emprunté grogne toute l'année.
Miguel de Cervantès
Envoyé le 26 octobre 2009


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Tous les vivants ont de la chance.

Jean Giraudoux, La Folle de Chaillot.

Reçu le 21 octobre 2009
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J'ai besoin de la solitude pour parler avec la nature.
Caspar David Friedrich, 1821.

Envoyé le 08 octobre 2009
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Je me disais bien qu'au bout du compte vous alliez me débiter des cochonneries.
Raymond Queneau, Zazie dans le métro, 1959.

Reçu le 30 septembre 2009
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Le destin n'est pas une chaîne mais un envol.
Alessandro Baricco, Océan Mer.

Envoyé le 21 septembre 2009
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Dieu voulut résumer les charmes de la femme en un seul, mais qui fût le plus essentiel, et mit dans son regard tout l'infini du ciel.
François Coppée, Les Récits et les élégies.

Reçu le 02 septembre 2009
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Il est parfois bon d'avoir un grain de folie.
Sénèque, De la tranquillité de l'âme, 17.

Envoyé le 14 août 2009
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Je suis double; quelquefois une partie de moi rit quand l'autre pleure.
Joseph Ernest Renan, Souvenirs d'enfance et de jeunesse, 1883.

Reçu le 21 juillet 2009
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La société de consommation a privilégié l'avoir au détriment de l'être. Et, le jour où l'avoir ne progresse plus, le roi se sent tout nu.
Jacques Delors, Le Bonheur, la vie, la mort, Dieu...

Envoyé le 14 juillet 2009
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Le maquillage est un culte à mystère...
Amélie Nothomb, Attentat.
Reçu le 02 juillet 2009

1 commentaire:

Miss_Yves a dit…

"Notes intimes "...pas encore publiées ?
miss Yves