mercredi 17 septembre 2008

Nathalie Caclard



 Envoyé le 26/01/2012
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 Reçu le 27/12/2012
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La nature ne se perd pas, ce qui se défait d'un côté se refait d'un autre.
Marcel Aymé, La Vouivre, 1942.
Envoyé le 23 décembre 2010
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O femmes! ô femmes! ô sexe fatal! Tout le pouvoir des dieux pour faire du bien n'approche point de celui que vous avez pour nuire.
John Dryden, La Mort d'Antoine et de Cléopâtre.

 Reçu le 15 décembre 2010
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L'amour est un duel : - Bien touché! Merci.
Tristan Corbière, Les Amours jaunes. 
  
Envoyé le 18 octobre 2010
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Il y a un âge pour être blessé cruellement, longuement : l'enfance; un âge pour prendre son coeur déchiré au bout de ses mains (...)
Richard Deshayes, revue "Change" déc.1975

Reçu le 30 septembre 2010
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Le capital est semblable au vampire, il ne s'anime qu'en suçant le travail  vivant (...)
Karl Marx, Les Damnés de la terre, 1867.

  Envoyé le 23 mars 2010
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Sous l'amas considérable des cheveux faux, on ne pouvait douter de la véracité du visage que se disputaient le désir de séduire et l'envie plus vertigineuse de déplaire (...)
Pierre Michon, Maîtres et serviteurs, 1990.
 Reçu le 04 mars 2010
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La claustrophobie : cercueil psychologique portatif.
Eva Almassy, Sporées, 1998.
Envoyé le 29 janvier 2010
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(...) un café doux comme une jeune fille l'est le premier soir, brûlant comme elle l'est le septième, noir comme la colère de sa mère qui apprend la chose (...)
B. Traven, Le Vaisseau des morts, 1926.

Reçu le 22 janvier 2010Pour agrandir, cliquez sur l'image



L'enfer, c'est d'errer dans le paradis en s'y sentant malheureux.
Maurice Druon, La Volupté d'être.

Envoyé le 27 novembre 2009
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Les vagues s'allongent sur la plage; tes cheveux sur ton dos d'ange.
Charles de Leusse, Comme un grain, 2004.

Reçu le 14 novembre 2009
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Combien de fois j'ai envié à Rodin sa terre-glaise docile et reposée, qu'on n'utilisait pas pour dire bonjour ou pour commander un repas.
Rainer Maria Rilke, Correspondance avec Catherine Pozzi, 1924-1925.

Reçu le 14 novembre 2009 (2)
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Tu dis que tu aimes les fleurs et tu leur coupes la queue, tu dis que tu aimes les chiens et tu leur mets une laisse, tu dis que tu aimes les oiseaux et tu les mets en cage, tu dis que tu m'aimes alors moi j'ai peur.
Jean Cocteau.
Envoyé le 21 septembre 2009
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Je rends une femme tellement heureuse que, parfois, je lui flanque une gifle, tant son bonheur m'énerve.
Georges Wolinski, Les Pensées, 1981.

Reçu le 20 août 2009Pour agrandir, cliquez sur l'image



Le papillon oublie bien souvent qu'il a été chenille.
Vicomte de Celleville et Fritz de Zeppelin, Proverbe Danois, 1892.

Envoyé le 03 août 2009
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(...) une jeunesse fugitive que l'on a voulu faire briller de tout ce que le monde offre de joyaux éphémères, paillettes de lumière, étincelles liquides des eaux.
Thierry Maulnier, Les Amours de Psyché et de Cupidon, 1949.

Reçu le 19 janvier 2009
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Pleure : les larmes sont les pétales du coeur.
Paul Eluard.
Reçu le 25 mai 2007
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L'homme est une intelligence asservie par ses organes.
Aldous Huxley.
Reçu le 16 mai 2006
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Il y a dans la sensualité une sorte d'allégresse cosmique.
Jean Giono, Jean le Bleu.
Reçu le 06 décembre 2005
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En ce monde vain - que j'ai quitté et rejeté - puisse la lune - plus ne demeurer, de sorte - que mon coeur ne s'y attache!
Le moine Saigyô, Sanka - Shô, I, 405, Recueil d'une hutte de montagne.

Reçu le 19 août 2004
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Donne au vent un bouquet ceuilli sur ton visage en fleurs, - Et je respirerai l'odeur des sentiers que tu foules.
Chams al-Din Muhammad Hafiz, Odes.

Reçu le 03 août 2004
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