lundi 16 juin 2008

Lisette Candela

Envoyé le 24/02/2012
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Envoyé le 16 décembre 2011 
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Reçu le 16 décembre 2011
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Chère imagination, ce que j'aime surtout en toi, c'est que tu ne pardonnes pas.
André Breton, Manifeste du surréalisme.

Envoyé le 31 octobre 2011
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Faut-il peindre ce qu'il y a sur un visage? Ce qu'il y a dans un visage? Ou ce qui se cache derrière un visage?
Pablo Picasso 
 Reçu le 26 octobre 2011
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Un rêve sans étoiles est un rêve oublié.
Paul Eluard 
 Envoyé le 23 octobre 2011
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Un illettré qui déchiffre des hiéroglyphes sensibles. Tel est l'homme qui tente de comprendre la femme qu'il aime.
Umar Timol, Les Affreurismes, 2005.          

Reçu le 26 septembre 2011
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Le rêve est l'aquarium de la nuit.
Victor Hugo, Les Travailleurs de la mer, 1866.
  Envoyé le 16 août 2011
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Le dessein de la nature est de dégager de la sensualité l´idée, mais l´art chercher à réaliser l´idée sous une enveloppe matérielle pour la rendre visible.
August Strindberg, Bohême suédoise.
Reçu le 02 août 2011
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Comment un personnage pourrait-il penser? Dès que la formule apparaît, le fait théâtral disparaît.
Georges Perros, Pour ainsi dire, 2004. 
 
Envoyé le 07 juillet 2011
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Pour moi, une femme idéale, c'est celle qui continue à acheter ses boucles d'oreilles chez le marchand de cerises. 
Patrick Sébastien, Carnet de notes, 2001. 

Reçu le 09 juin 2011
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Tout à coup, issu du fond de l'espace, un miaulement naît (...)
Georges Duhamel, Récits des temps de guerre.

Envoyé le 22 avril 2011
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Enfin, de son vil échafaud, / Le clown sauta si haut, si haut, / Qu'il creva le plafond de toiles / Au son du cor et du tambour, /
Et, le coeur dévoré d'amour, / Alla rouler dans les étoiles.
Théodore de Bamville, Odes funambulesques.

Reçu le 07 avril 2011
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La nudité est antérieure au corps, et le corps quelquefois s'en souvient.
Roberto Juarroz, Poesia Vertical, III, 1980.

Envoyé le 24 janvier 2011
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Il est lourd de porter du rêve, dit le renne, beau ténébreux.
Charles Dobzynski, Les Premiers de la glace, 1996.
Reçu le 13 janvier 2011
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Le mot naïf et étonné de la Borghèse, quand on lui demanda comment elle avait bien pu poser nue devant Canova : "mais l'atelier était chaud! il y avait un poêle!" 
Barbey d'Aurevilly, Les Diaboliques, 1874.

Envoyé le 06 décembre 2010
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Si les plages bretonnes sont goudronnées par la marée noire, cet été, ça nous évitera d'avoir du sable dans les godasses...
Laurent Ruquier, Je ne vais pas me gêner, 2000.

 Reçu le 22 novembre 2010
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La campagne, cet éternel remède des affections auxquelles la médecine ne connaît rien.
Honoré de Balzac, Le Lys dans la vallée

Envoyé le 11 octobre 2010
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Qu'on prodigue le temps, tout le possible arrive.
Hérodote
 Reçu le 30 septembre 2010
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Le jour radieux décline, et nous entrons dans les ténèbres.
Shakespeare, Antoine et Cléopâtre.
 Envoyé le 17 août 2010
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(...) femmes dont les premières rides et le regard alourdi par un peu de fatigue révèlent les interrogations.
Hubert Nyssen, Eléonore à Dresde, 1983. 

Reçu le 22 juillet 2010
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Je me suis toujours dit qu'il y avait trois types de malfaisants sur la planète : le juriste, le psy et le con.
Joseph Bialot, Le jour où Albert Einstein s'est échappé, 2008.

 Envoyé le 18 juin 2010
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La musique passait de ma chair dans la sienne, qui la rendait à mes sens.
Marcel Moreau, Julie ou la dissolution, 1971. 

Reçu le 28 mai 2010
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Je ne serai plus jamais un enfant, je ne serai jamais une vraie grande personne. Je m'appliquerai à faire semblant.
François Maspero, Le Sourire du chat, 1984. 

 Envoyé le 27 avril 2010
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(...) un homme bizarre, une espèce de monstre humain, aux cheveux en broussaille et aux yeux fulgurants, vint à lui.
Pierre Montmajour, Le Fils bien-aimé, 1943. 

Reçu le 09 avril 2010
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 Il y a un autre monde / Caché dans celui-ci / On le devine / à l'épaisseur de la pluie / pleine du chant des passereaux.
Isabelle Lebrat, Le Pain des anges, revue "Poésie 98" 

Envoyé le 15 mars 2010
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La pluie, la longue pluie, avec ses longs fils gris. Avec ses cheveux d'eau, avec ses rides, la longue pluie des vieux pays, éternelle et torpide.
Emile Verhaeren 
Reçu le 19 février 2010
 
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Jusqu'à quand, semant des dents de dragons, donneras-tu naissance à de nouveaux serpents?
G. Derjavine
Envoyé le 29 janvier 2010 Pour agrandir, cliquez sur l'image



A peine m'avait-elle reconnu, son visage s'était éclairé, comme un paysage au moment précis où le soleil perce les nuages (...)
Dominique Noguez, Amour noir, 1997.

Reçu le 27 janvier 2010Pour agrandir, cliquez sur l'image



Le monde marche à pas de géants vers une uniformité menaçante.
Théodore Monod.
Envoyé le 28 décembre 2009Pour agrandir, cliquez sur l'image




La naïveté grotesque des enfants fait peine à voir, surtout si l'on veut bien la comparer à la maturité sereine qui caractérise les adultes. Par exemple, l'enfant croit au Père Noël. L'adulte non. L'adulte ne croit pas au Père Noël. Il vote.
Pierre Desproges
Reçu le 17 décembre 2009
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La bête, l'arbre et l'homme : ils partagent tous le même souffle.
Réponse d'un chef de tribu indienne aux Américains, 1854.

Envoyé le 19 novembre 2009
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Les arabesques de ma danse, les signes maléfiques que j'écris dans l'air, les hiéroglyphes de ma queue qui se tord en serpent coupé...
Colette, La Paix chez les bêtes, 1916.

Reçu le 09 novembre 2009
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La lecture encombre la mémoire et empêche de penser.
Herbert George Wells, Le Joueur de croquet.

Envoyé le 26 octobre 2009
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On roule sur le monde - Une sorte de joie - Qu'on éparpille sur les chemins.
Claudine Bohi, Poème, 1999.
Reçu le 20 octobre 2009
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Comment font les nudistes, n'ont-ils rien à cacher?
Charlélie Couture, Je suis dans mes poches.

Envoyé le 21 septembre 2009
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Ce qui me dépitait surtout c'est que, des six Espagnoles ou gitanes que cette fête rassemblait, celle qui m'avait "jeté le mouchoir" était de beaucoup la moins belle.
André Gide, Journal 1889 - 1939, 1910.

Reçu le 27 août 2009
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Le style, pour l'écrivain aussi bien que pour le peintre, est une question non de technique mais de vision.
Paul Valéry.
Envoyé le 08 août 2009
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L'eau peut agir sans poisson, - Mais le poisson ne peut agir sans eau.
Lao - Tseu, Tao tö king, XXXIV.
Reçu le 25 juillet 2009
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On fait des bulles, on est du vent. Des funambules sur le fil du temps.
Joe Dassin, C'est du mélo, 1974.

Envoyé le 07 juillet 2009
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La stratégie est à la tactique, ce que le haut-de-forme est à la casquette.
Grégoire Lacroix, les euphorismes de Grégoire.

Reçu le 27 juin 2009

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France, mère des arts, des armes et des lois, - Tu m'as nourri longtemps du lait de ta mamelle : - Ores, comme un agneau qui sa nourrice appelle, - Je remplis de ton nom les antres et les bois.
Joachim De Bellay, Les Regrets.

Envoyé le 02 juin 2009

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On a contre elles (les mouches) qu'elles vont sur l'ordure et surtout qu'elles en reviennent. Ce qui les distingue des autres amateurs qui s'y acoquinent.
Paul Valéry, Rhumbs.
Reçu le 29 avril 2009

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L'art et la religion ne sont pas deux choses, mais plutôt l'envers et l'endroit d'une même étoffe.
Emile-Auguste Chartier, dit Alain, Préliminaires à la mythologie, 1943.

Envoyé le 03 avril 2009

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La conscience a été donnée à l'homme pour transformer la tragédie de la vie en une comédie.
Démocrite.

Reçu le 20 mars 2009

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La danse sous toutes ses formes ne peut être exclue du cours de toute noble éducation : danser avec les pieds, avec les idées, avec les mots, et dois-je aussi ajouter que l'on doit être capable de danser avec la plume?
Friedrich Wilhelm Nietzsche, Le Crépuscule des idoles, 1888.

Envoyé le 18 février 2009

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Plusieurs personnes entrent et sortent de nos vies, seuls les vrais amis laissent une empreinte sur nos coeurs.
Antoine Chuquet.
Reçu le 12 février 2009

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La dignité humaine est une question vestimentaire parce que précisément la conscience est un costume, une mise en scène, un théatre.
Jacques Ferron, Le Don Juan Chrétien.

Envoyé le 14 janvier 2009
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Tous ouvrent sur le monde les mêmes pupilles énormes, cerclées de jaune orangé, de brun chaud ou d'or vert, tous ont dans le regard la même fixité lointaine et qui semble émaner d'une réalité magique (...)
Maurice Genevoix, Bestiaire enchanté.

Reçu le 03 janvier 2009

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Il est trop vrai que la passion, à un certain point de sa croissance, nous tient et que nous ne pouvons plus rien contre ce cancer.
François Mauriac, Souffrances et bonheur du chrétien, 1931.

Envoyé le 08 décembre 2008

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Les chiens ont des maîtres, les chats ont des serviteurs.
Dave Barry.
Reçu le 26 novembre 2008


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Nature n'endure mutations soudaines sans grande violence.
François Rabelais, Gargantua, 1542.

Envoyé le 11 novembre 2008

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...Partir? Que cherche-t-il dans le labyrinthe : Ariane ou le minotaure? Et pourquoi la question reste-t-elle toujours sans réponse?...


Jean-Maurice de Montrémy, Capucines à Valence.

Reçu le 28 octobre 2008

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Il est des portes sur la mer que l'on ouvre avec des mots.
Rafael Alberti, Sobre los angeles, El angel de las bodegas.

Reçu le 13 octobre 2008

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Mais un marin n'est jamais embarrassé, quand il s'agit de câbles ou de cordages, et Pancroff tressa rapidement une corde longue de plusieurs brasses au moyen de lianes sèches.
Jules Verne, L'île mystérieuse, 1873-1875.


Reçu le 03 octobre 2008

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Ce grand philosophe (Descartes), dans un temps où les observations astronomiques , la mécanique et la géométrie étaient encore très imparfaites, imagina , pour expliquer les mouvements des planètes, l'ingénieuse et célèbre hypothèse des tourbillons.

Jean le Rond d'Alembert.


Réponse le 08 septembre 2008

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C'est le plus grand des voleurs, - Oui mais c'est un gentleman - Et chaque femme à son heure - Rêve de voir son visage.
Jacques Lanzmann, Gentleman cambrioleur, interprété par Jacques Dutronc (1973)

Reçu le 03 septembre 2008

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La différence entre les surréalistes et moi, c'est que je suis surréaliste.

Salvador Dali.

Jean Racine, Esth.I, 1

Reçu le 11 juillet 2008Pour agrandir, cliquez ici



La nature ne pardonne pas, n'oublie rien... Des coups, elle peut en supporter mille et rendre soudain non pas oeil pour oeil mais apocalypse pour chiquenaude.

Jérôme Deshusses, Délivrez Prométhée.


Réponse le 25 juin 2008Pour agrandir, cliquez ici


Il fallait bien qu'un visage réponde à tous les noms du monde.
Paul Eluard, l'Amour la Poésie, " Premièrement "


Reçu en juin 2008Pour agrandir, cliquez ici


Noël célèbre la naissance de Jésus Christ, fils de Dieu, venu sur terre pour effacer les péchés du monde, mais il avait oublié sa gomme.

Pierre Desproges, Chroniques de la haine ordinaire, jours de fête.


Réponse le 29 avril 2008Pour agrandir, cliquez ici


Que ne puis-je monter sur un dragon céleste - Pour respirer l'essence du soleil et de la lune - Afin d'être immortel.

Li Po, Poèmes.
Reçu le17 avril 2008


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Prince, on délibère bien souvent, - Mais on peut dire, comme le rat - Du conseil qui n'aboutit pas! - Qui pendra la sonnette du chat?
Eutache Deschamps, Ballades de Moralité, LVIII.


Reçu le 16 février 2008

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On a dit que je changeais d'homme comme on change de bottines. Passez-moi le luxe, par charité; je ne puis porter éternellement la même paire.

André Breton, Littérature, Nouvelle série, N°2, (1922)


Reçu le 15 janvier 2008

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Un ami dans la vie est très bien; deux, c'est beaucoup; trois, c'est à peine possible. L'amitié nécessite un certain parallélisme dans la vie, une communauté de pensée, une rivalité de but.

Henry Brooks Adams, L'éducation d'Henry Adams.

Reçu le 27 novembre 2007
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Comme un vol d'hirondelles échappé de la poubelle des cieux.

Jacques Higelin, Tête en l'air.

Reçu le 19 octobre 2007

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Les grandes nations se sont toujours comportées comme des gangsters et les petites comme des prostituées.

Stanley Kubrick, Propos tenu en 1963.



Reçu le 06 août 2007

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En suivant les contours intérieurs et extérieurs de cette tête, on constate que ce dessin nouveau est fait de forts contrastes suivis d'effacements.

André Lhote, Traités du paysage et de la figure.



Reçu le 20 juillet 2007

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Il n'y a pas d'art pour découvrir sur le visage les dispositions de l'âme.
William Shakespeare, Macbeth (1605)


Reçu le 24 mai 2007

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Il n'est pas moins facile de réveiller Lazare que de se retrouver soi-même.

Eugène Avtsine, dit Claude Aveline.


Reçu le 24 mars 2007

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Tristesse insondable des écoles et des cours de récréation vidées par les vacances de Noël. Comment vivre sans ces petits îlots de fraîcheur vivifiante, sans ces ballonnets d'oxygène qui font oublier quelques instants la pestilence de l'adultat.

Michel Tournier, Le Roi des Aulnes.



Reçu le 18 décembre 2006

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L'aube se passe autour du cou un collier de fenêtres.

Eugène Emile Paul Grindel, dit Paul Eluard, L'Amour la poésie (1929), Premièrement.

Reçu le 09 septembre 2006Pour agrandir, cliquez sur l'image



Reçu le 04 mai 2006


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Reçu le 12 avril 2006

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Reçu le 18 mars 2006

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Reçu le 10 février 2006

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